Aux abords des BADIEUX, vous arpenterez le versant sud sud-est du plateau du Mont-Lozère. Votre regard va se porter inéluctablement sur les «puechs» des BONDONS.
Curiosités géologiques en forme de mamelons, se dressant au milieu d’un plateau calcaire.
Quand les mers des temps géologiques sont venues recouvrir les terrains granitiques du Lozère, elles y ont déposé des couches de sédiments calcaires et marneux que l’érosion est venue ensuite balayer.
Des buttes plus résistantes ont eu raison de l’érosion et ont donné des formes insolites au relief. La culture populaire et les légendes se sont ensuite emparés des « puechs » des Bondons et de « l’échine d’âne » plateau calcaire dominant la vallée du Tarn, pour y donner d’autres raisons d’être.
Curiosités géologiques en forme de mamelons, se dressant au milieu d’un plateau calcaire.
Quand les mers des temps géologiques sont venues recouvrir les terrains granitiques du Lozère, elles y ont déposé des couches de sédiments calcaires et marneux que l’érosion est venue ensuite balayer.
Des buttes plus résistantes ont eu raison de l’érosion et ont donné des formes insolites au relief. La culture populaire et les légendes se sont ensuite emparés des « puechs » des Bondons et de « l’échine d’âne » plateau calcaire dominant la vallée du Tarn, pour y donner d’autres raisons d’être.
A voir autour des Puèchs de Bondons
Non loin de là, une concentration de plusieurs dizaines de menhirs fait du lieu un site à l’ampleur comparable à celle de Carnac en Bretagne. Par analogie on les suppose contemporains des dolmens, c’est-à-dire entre 3000 et 2500 avant J.-C.
Ils étaient sûrement utilisés dans la construction des maisons. Beaucoup ont disparu, mais ils sont encore nombreux. Quelques uns sont brisés ou encore couchés, mais la majeure partie a été plantée ici et là. Ils ont été redressés il y a quelques années, grâce à l’initiative du service archéologique de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.
Ils étaient sûrement utilisés dans la construction des maisons. Beaucoup ont disparu, mais ils sont encore nombreux. Quelques uns sont brisés ou encore couchés, mais la majeure partie a été plantée ici et là. Ils ont été redressés il y a quelques années, grâce à l’initiative du service archéologique de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.
Puis en prenant la direction de Pont-de-Montvert, la route traverse en lacets les chaos granitiques de Rûnes : vous resterez perplexe tant on croirait que ces amoncellements rocheux naturels ont été assemblés par l’homme.
Enfin – toute proche, la cascade du même nom, un peu à l’écart à la sortie du village mérite qu’on s’y rende pour admirer sa perspective vertigineuse sur le ruisseau de Mirals. Avec ses 58 mètres de hauteur, elle est l’une des plus hautes du Massif Central.
Enfin – toute proche, la cascade du même nom, un peu à l’écart à la sortie du village mérite qu’on s’y rende pour admirer sa perspective vertigineuse sur le ruisseau de Mirals. Avec ses 58 mètres de hauteur, elle est l’une des plus hautes du Massif Central.
Vous poursuivrez ensuite votre route sur cette petite départementale sinueuse pour admirer – de préférence en s’arrêtant (par mesure de prudence), les magnifiques perspectives sur les « serres » et « valats » cévenols. En traversant Fraissinet-de-Lozère vous apercevrez l’église romane du XIIème siècle avec son clocher à peigne, transformée au XVIIème.
Les clochers à peigne sont caractéristiques d’une architecture religieuse plus répandue dans le nord de la Lozère en Margeride et en Auvergne.
Au nord de cette commune, il y a l’un des villages les plus hauts et pourtant des plus peuplés du Mont-Lozère : La Brousse. Un beau four à pain datant de la fin du XVIIIème siècle y est érigé et remis en fonction à l’occasion de fêtes.
Les clochers à peigne sont caractéristiques d’une architecture religieuse plus répandue dans le nord de la Lozère en Margeride et en Auvergne.
Au nord de cette commune, il y a l’un des villages les plus hauts et pourtant des plus peuplés du Mont-Lozère : La Brousse. Un beau four à pain datant de la fin du XVIIIème siècle y est érigé et remis en fonction à l’occasion de fêtes.